0 5 minutes 2 mois

Lors de leur premier match du tournoi de l’UNIFFAC, qui s’est déroulé au stade de Bamenda à Douala, au Cameroun, les Fauves Centrafricains U17 ont subi une défaite cuisante face à l’équipe camerounaise constituée de joueurs dont l’âge dépasse largement la limite de 17 ans. Cette disparité d’âge a indéniablement joué en défaveur des jeunes centrafricains, qui se sont retrouvés confrontés à des adversaires nettement plus expérimentés et physiquement plus imposants.

Cette situation a suscité des réactions vives au sein de la communauté sportive centrafricaine. Cependant, il est crucial de rappeler que la responsabilité de cette défaite ne peut en aucun cas être attribuée à M. Célestin Yanendji, président de la Fédération Centrafricaine de Football. Au contraire, il est un homme de valeur, reconnu pour son intégrité et son engagement envers le développement du football en Centrafrique.

Malheureusement, face à cette débâcle, certains compatriotes, encouragés par des hommes politiques aux motivations douteuses, cherchent à tirer profit de cette occasion pour ternir la réputation de M. Yanendji.

Sur les réseaux sociaux, ils publient des articles truffés de fautes d’orthographe et rédigés dans un français approximatif, témoignant d’une maîtrise limitée de la langue de Molière. Ces écrits, souvent empreints de malveillance, semblent davantage motivés par un désir de nuire que par une véritable préoccupation pour l’avenir du football centrafricain.

M. Yanendji, conscient des enjeux, choisit de ne pas s’engager dans ces querelles stériles. Il sait pertinemment que répondre à ces attaques ne ferait qu’alimenter un cycle de négativité et de division. Au lieu de cela, il préfère concentrer ses efforts sur la construction d’une fédération solide et sur l’amélioration des conditions de jeu pour les jeunes talents du pays. Son approche pragmatique et son refus de se laisser entraîner dans des jeux de gamineries témoignent de sa maturité et de sa vision à long terme.

Sous sa direction, la Fédération Centrafricaine de Football a connu des changements significatifs. Grâce à une collaboration étroite avec le chef de l’État Faustin Archange Touadera, M. Yanendji a su mobiliser des ressources considérables pour le développement du football en Centrafrique. Des infrastructures modernes ont été mises en place, des programmes de formation pour les jeunes joueurs ont été instaurés, et une attention particulière a été accordée à la détection des talents. Ces initiatives visent à créer un environnement propice à l’épanouissement des jeunes footballeurs, tout en renforçant l’image du football centrafricain sur la scène internationale.

Célestin Yanendji incarne une vision ambitieuse pour l’avenir du football en Centrafrique. Il rêve d’un sport non seulement compétitif, mais également porteur d’espoir et de fierté pour son pays. En investissant dans les jeunes, il aspire à construire une équipe nationale solide qui pourra rivaliser avec les meilleures équipes du continent. Sa détermination et son engagement sont des atouts précieux pour le football centrafricain, et il est impératif que la communauté sportive unisse ses efforts pour soutenir cette vision.

En conclusion, il est essentiel de faire preuve de discernement face aux critiques malveillantes visant M. Célestin Yanendji. Plutôt que de se laisser emporter par des attaques infondées, il serait plus constructif de se concentrer sur les défis à relever et de travailler ensemble pour bâtir un avenir prometteur pour le football en Centrafrique. Les Fauves Centrafricains ont besoin de soutien et d’encouragement et non de divisions. C’est en unissant nos forces que nous pourrons espérer voir émerger un football centrafricain digne de ses ambitions.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *