
Qu’on le veuille ou non, la prise des armes exige qu’on se parler à un moment donné. Des inquiétudes qui se dégageaient après la prise des armes des FACA contre les FACA, on semble aller vers la paix. N’y avait-il pas une voix que celle-là pour que le Centrafrique baigne dans le calme ?
En suivant les uns et les autres discutaillés par rapport aux fers qui se croisaient à Zemio, on semble comprendre que la paix ne pourrait que revenir.
La vie d’aujourd’hui, avec les flammes qui peuvent tout consumer, les tètes des uns et des autres peuvent se confronter. Et une petite feuille se met à s’enflammer en conséquence.
N’est-ce pas ce qui poussa les Azandé Ani Kpi Gbé et les FACA à se pointer pour tuer à gauche et à droite ?
L’on releva des victimes parce que quand les armes parlent, des morts ou blessés sont vite arrivés et relevés.
Cela est déplorable, mais le monde ne peut rien du tout pour arrêter ce fait combien malheureux.
Mais comme on le dit parfois, le silence est d’or. L’on se tut parce qu’il ne fallait pas mettre le feu aux poudres. Les ressortissants du Haut-Mbomou se turent tous. Du plus petit au plus grand. L’on s’opposa farouchement à ce qu’un membre du coin fasse allusion à ce fait de soulèvement.
On les suspectait, à ce qu’il semble ?
Le député d’Obo n’aurait pas mis pied dans sa zone de juridiction depuis 3 ans. Craignait-on quelque chose ? Seule l’Histoire dira la vérité et à son heure.
Regardons vers l’avenir, et laissons le pays faire son petit bonhomme de chemin. D’ailleurs, les élections avancent et le lendemain sera le dernier à dire la vérité quant au futur de la République centrafricaine.
Que l’on se taise et voyons venir les temps nouveaux, car bien de chose nous situera demain.