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Que dire quant aux rues et routes que le gouvernement centrafricain se bat pour mettre à l’état ? Parce que les ententes avec les bailleurs de fonds ne sont pas que de petits jeux pour ceux qui nous gouvernent. Signer une convention entre les partenaires pour ceci ou cela, exige des rencontres qui demandent  le concours de tous. Les membres du régime d’une part, les pourvoyeurs de l’argent à donner d’autre part. Le tout nécessite une cérémonie de portée importante, tant cela ne se fait pas sans la volonté du peuple.

Seulement, réussir à arracher des sous des mains qui l’ont, ne veut pas dire que la victoire est acquise. Ce n’est qu’un visage du grand jeu de la vie d’un peuple. Mais ce qui est plus difficile et grave, c’est de savoir utiliser cet avoir.

Et aujourd’hui, les rues, les routes de la capitale commencent à être travailler avec grande peine. Du matin au soir, les ouvriers sont par-ci par-là, et le visage de notre grande ville se transforme, la population ne peut que s’en enorgueillir. Nombre de nos concitoyens vont à gauche et à droite, je veux dire, en Afrique, en Europe, aux USA, Là, ils observent de choses nouvelles, alors leur cœur bondit de joie pour se dire, «  le nouveau s’installe dans le territoire de BOGANDA ! »

Mais attention, l’argent que nous empruntons pour des cas d’urgence, ne nous appartient pas. Il est la chose de bien des gens soit lointains, soit proches. Vu la diplomatie que tissent les uns avec les autres, l’Histoire qui unit les êtres humains devant lier les nations du monde, l’on se donne la main. Ces Accords sont signés pour un temps donné, parce qu’on ne peut se rapprocher sans pouvoir nous tendre la main. Par solidarité, par humanisme. L’on ne doit pas oublier ce fait capital, qui apporte beaucoup de tranquillité, de paix et de douceur dans le monde.

C’est alors que le prix qu’on attache à ces prêts, tout le monde doit y attacher de l’importance. Les routes et rues devant être empruntées par les véhicules devaient faire l’objet d’éducation pour ne pas souffrir de sa valeur. Transportant les grumes, les marchandises, les bœufs, ces véhicules de hauts tonnages cassent les chemins qui ont à être utilisés par ce qui devrait lui convenir. Sinon, on ne sait pas par où va le gros camion, pendant que la belle voiture de la ville ne peut rouler correctement.

Que ceux qui font les routes, les rues et autres, sachent que la ville doit avoir ses propriétés propres, lui confinant sa nature que rien d’autre ne devra dominer. Et là, la BMW, la CITROYENNE, et que sais-je encore, feront les vitesses de leur empressement pour aller plus vite. Les grosses caisses s’en iront avec leur capacité de rouler, pour arriver quelque part avec patience.

N’est-ce pas que la leçon donnée par « Afrique en plus » entrera dans la méninge, afin que le citoyen et l’étranger sachent  que la rue et la route ont une caractéristique à observer ?

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