
Il a circulé sur les réseaux sociaux un écrit de la dame Marie-Rosalie SONI née LOUNGOULHA incriminant le Directeur Général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) qui aurait pris faits et cause dans une affaire de couple avec des conséquences extra-professionnelles. Les premiers éléments d’enquêtes et d’investigations disent tout le contraire.
Les deux visages d’ANNA…
La propre plainte de Madame Marie-Rosalie SONI née LOUNGOULHA comporte quelques éléments de confusions. Ses qualifications académiques ont été brandies mais aucune mention sur la façon dont elle a été recrutée à la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS). Il aurait été judicieux de situer l’opinion sur cette question. Est-ce à l’issue d’un concours, est-ce par recommandation ? Est-ce après un stage concluant ? Combien d’années d’expérience professionnelle totalise-t-elle à la CNSS ? Les compétences académiques ne garantissent pas forcément le professionnalisme encore moins l’éthique et la déontologie sur un lieu de travail. Selon les investigations menées, plusieurs personnalités de la Direction des Finances et Comptabilité de la CNSS dont dame Marie-Rosalie SONI née LOUNGOULAH ont été relevées de leurs fonctions pour des motifs administratifs. Le Directeur du service a été envoyé en complément d’effectif au service de recouvrement sans récrimination aucune. Le déploiement de cette dame à Bangassou n’est certainement pas une punition, pas même un acte de harcèlement. Lorsqu’un employé n’est pas d’accord avec une affectation ou une mutation, il dispose de voies de recours administratifs ou grâcieux pour se défendre et faire valoir ses droits. Cela n’a été mentionné nulle-part et suscite des interrogations sur le but recherché.
Diplômes et intelligence…
Il semble que dans la plainte adressée à l’Organisation des Femmes juristes, Dame Marie-Rosalie SONI née LOUNGOULAH a avoué qu’elle est jusqu’à ce jour mariée mais qu’à maintes reprises, elle a quitté le domicile conjugal. Ce qui est surprenant, elle n’a pas fait mention d’une quelconque plainte qu’elle a déposée contre son mari qui menacerait sa vie et celle de ses enfants. Il n’existerait aucune plainte déposée contre son mari ni aux de la police ni au tribunal. Cette absence peut être la face cachée de l’iceberg. En droit de la famille centrafricain, l’abandon de domicile conjugal est une violation de l’obligation de communauté de vie qui découle du mariage et expose son auteur à des amendes et des peines d’emprisonnement. C’est même un facteur relevant du divorce. Les enquêtes menées permettent de découvrir que Madame Marie-Rosalie SONI LOUGOULHA a élu domicile chez un Cyrille M actuellement dans les alentours de Saint Antoine de PADOUE alors qu’elle n’a pas encore divorcé de son mari, le sieur SONI. Certainement les femmes juristes l’aideraient à divorcer de son mari cocufié avant de construire une nouvelle vie.
Femmes battantes et femmes au foyer…
Femmes battantes et femmes au foyer, ce sont des défis de la nouvelle génération en République Centrafricaine. Le travail d’une fille, d’une femme doit être encouragé mais avec ces concepts l’on perd très souvent le nord. Les femmes battantes sont difficilement des femmes au foyer. Plusieurs couples volent en éclat lorsque la femme commence à être financièrement assise et les mauvaises fréquentations avec.
Affaire à suivre.